La bureaucratie étant un fléau, dont souffre particulièrement le monde agricole, on ne peut que soutenir nos paysans (pays, paysages, paysans) dans leur combat contre les dérives de la machine, française d'abord, européenne ensuite (ou l'inverse).

Tout un chacun soucieux d'Humanisme a le devoir de dénoncer les aberrations destructrices d'une "sur-administration" incontrôlée et peut-être bientôt incontrôlable (cf Kafka). 

Il faut soutenir nos paysans (mot noble) ne serait-ce que pour la signification fondamentale de leur travail : ils sont le lien humain direct avec la terre. La terre source de vie et de valeurs historiques et culturelles. La terre qui ne ment pas.

Pour autant, s'il est permis de conseiller ces hommes et ces femmes en colère, nous leur devons de conseiller la modération dans leurs actions et la pertinence dans le choix de leur(s) cible(s).

Bloquer Paris revient à faire souffrir une multitude de Français actifs qui n'ont pas la main sur les décisions politiques et économiques et qui les désapprouvent en majorité. Des compatriotes scandalisés par les difficultés surréalistes rencontrées par des travailleurs qui revendiquent le droit de pouvoir vivre de leur travail. 

Nos paysans se doivent de veiller à empêcher les manoeuvres politic(h)iennes qui consistent, entre autres, à tout faire pour rendre leur mouvement impopulaire (cf les "gilets jaunes) : pourrissement du mouvement par les violences, plus ou moins autorisées, confusion avec des actions extrémistes, etc, etc...

On lit un peu partout cette même phrase : "le monde agricole ne relâche pas la pression sur le gouvernement". Comment être sûr d'un tel constat puisque, comme toujours, dans les mouvements sociaux, c'est sur la population que la pression est d'abord exercée. Un peuple qui pâtit tout autant des incompétences, des laxismes, des veuleries, des mensonges des dirigeants.

S'il devait y avoir une cible pertinente pour une action de blocage, c'est au nid qu'il faut s'intéresser : Bruxelles, usine de bureaucrates, et Strasbourg devenus le fief des mondialistes xénolatres.

L'Europe est un projet magnifique saboté par une oligarchie ploutocrate, nihiliste, malveillante envers l'humain.

C'est cette Europe dévoyée qu'il faut combattre pour revenir aux fondamentaux. 

Vive la France !

Vive l'idée d'une Europe solidaire...

La surenchère dans la dénégation

Aussitôt après les massacres des 7 et 9 janvier 2015, des journalistes de "Charlie Hebdo"(12 morts), des clients de l'Hyper Cacher (5 morts dont le terroriste), au nom de la religion, un seul mot d'ordre émanant à grand renfort de déclarations de la gentille pensance : "pas d'amalgame".

Pas d'amalgame, donc, entre les adeptes de cette religion et les tueurs se réclamant de cette religion pour justifier leurs crimes.

Le 13 novembre 2015, les mêmes slogans "religieux" pour assassiner 130 personnes à Paris.

Le 14 juillet 2016, la même ferveur "religieuse" pour assassiner 86 personnes à Nice.

Et toujours la même recommandation du "pas d'amalgame"...

Dans un registre plus contemporain, et toujours dans cette exigence du refus de l'amalgame, la comparaison des chiffres entre l'immigration clandestine ou autorisée et ceux des crimes et délits commis en France n'est pas politiquement correcte.

Mais, chut : surtout pas d'amalgame entre tous ces chiffres furieusement croissants ! Même si la vérité est hurlante.

La concomitance de ces augmentations semblent échapper aux adeptes de l'immigrationnisme...

Pouvoir jamais contestable

Laurent Fabius, premier ministre du sang contaminé (souvenir, souvenirs), grand-bourgeois vivant bien à l'écart des gens ordinaires (gauche caviar), "responsable mais pas coupable" (souvenir, souvenirs), s'arroge le droit de mettre en danger un peuple tout entier. Ce droit qui lui est accordé par son seul statut de président du Conseil Constitutionnel.

Seul décisionnaire (nommé par le Président de la République), face à une population de plus en plus clairement hostile à une immigration invasive, irrespectueuse, incontrôlée. 

Une fois encore, l'exemple désastreux d'un puissant qui ne représente rien et dont les préférences politiques ne mobilisent presque plus personne (1,75 %, à la dernière élection présidentielle - 616 478 voix) mais qui abuse de son pouvoir pour imposer une idéologie qui va à l'encontre du bon sens et de l'évidence, voire à l'opposé de la nécessité...

Une fois encore l'illustration de l'arrogance d'un baron de la socialie mitterrandienne au service des adversaires de la France.

Entre la privatisation de la Cour des Comptes par son président Moscovici et l'usage idéologique de la fonction du Conseil Constitutionnel par son président Fabius, voilà de quoi hurler aux dysfonctionnements majeurs dans nos institutions.

Les deux compères, issus du même berceau, utilisent les mêmes arguties, les mêmes sophismes, pour justifier leurs décisions unilatérales respectives. Des décisions qui vont, toutes, à l'encontre des aspirations d'une majorité de leurs compatriotes. 

La Démocratie ressemble, grâce à ces Tartuffe, de plus en plus à une utopie.

Merci François Mitterrand !

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux dans nos plaines...

Chaque semaine ou presque compte son déni.

Neuf hommes, neuf "juges" nommés sans passer par l'outil électoral, décident donc du destin de plusieurs millions de leurs compatriotes.

 Peut-on sérieusement croire en l'objectivité dans la décision du Conseil Constitutionnel ?

Peut-on en la circonstance approuver la pertinence du recours à ce Conseil ?

Alors que la majorité des Français refusent l'immigration tolérée, voire voulue, voire organisée, par cette oligarchie hors-sol...

Alors que c'est le Parlement (Sénat et Assemblée nationale) qui a voté la loi...

Comment cesser d'affirmer que la Démocratie est bafouée...

Quand on vous dit que le système macronien est fondé sur une arrogance d'ancien-régime...

L'histoire bégaie : on ne le dira jamais assez.

Avis aux tartuffe et aux autruches !