• " Quel dommage qu'il ne soit pas président de la République ! "

    Philippe de Villiers réagit ainsi, non sans ironie, à propos du tout dernier commentaire d'Emmanuel Macron sur les agressions de plus en plus sauvages en France. (cf Face à face sur C-News de ce 5 avril 2024)

    Le trait d'esprit de l'ancien Secrétaire d'Etat à la Culture (sous Mitterrand-Chirac) est d'une implacable pertinence. Le locataire de l'Elysée, occupant depuis le 7 mai 2017, brille par son absence en tant que... président. Ce paradoxe est de plus en plus reconnu.

    Les faits divers devenus faits de société à force de récurrence transforment, doucement mais sûrement, la France en champ de bataille : la faute à qui ?

    Le criminel, celui qui a commis le crime, est certes le premier coupable mais le coupable peut être aussi un commanditaire, un incitateur, un témoin indifférent ou veule, un complice idéologique, un politique inconscient ou laxiste.

    Emmanuel Macron, officiellement président de la République depuis sept ans, est un spécialiste hors-pair du constat et du discours. On n'en dira pas autant de l'action. Volontiers indigné, souvent déterminé, empathique autant qu'emphatique, le président Macron disparaît lorsqu'il s'agit d'agir. Et d'agir pour empêcher le crime, quel qu'il soit.

    L'inaction présidentielle n'est pas la seule faute à épingler : entre les louanges de la diversité, le laxisme devant les communautarismes et les déclarations incendiaires, l'équilibre sociétal devient presque impossible. A cela il faut ajouter l'immigrationnisme hystérique dont les conséquences fâcheuses s'expriment chaque jour davantage. Il ne peut rien arriver de bon lorsque le principe d'intégration est considéré comme superflu.

    La boussole politique est devenue folle à force d'être secouée. Le président Macron confirme sans cesse son goût de la destruction ou, tout au moins, son talent pour le "détricotage". Grâce à lui, la déculturation oeuvre à la vitesse du galop, permettant ainsi toutes les invasions idéologiques possibles, toutes les violences imaginables.

    L'urgence absolue se précise, dans presque tous les domaines, mais " l'état d'urgence " n'a de sens que s'il est porté par des responsables politiques cohérents, lucides, volontaires et ... patriotes.

    La question mérite d'être posée : ce président français aime-t-il la France ?

    Quoiqu'il en soit, foin des théâtreux, des constats de bureaucrates, des marches blanches, des nounours et des bougies !

    Aux Français il appartient d'empêcher que la France ne perde son âme...

     


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  • Il n'était pas Charles mais il était De Gaulle.

    L'Amiral Philippe De Gaulle a rejoint son père l'illustre Général.

    Une figure de la France glorieuse quitte une France délabrée, souillée, insultée de toutes parts, y compris par des ennemis de l'intérieur.

    En un temps où l'on peut revendiquer la "nationalité" française tout en affichant une haine féroce de la France, le souvenir de la grandeur gaullienne est d'une terrible souffrance...

    En un temps où le pouvoir politique brade tout ce qui fait la France, le seul fait d'évoquer la puissance de l'appel du 18 juin 1940 suffit à évaluer le déclin face auquel les patriotes, les vrais Français, doivent faire face...

    En un temps de guerre civile dont on nie la réalité, l'aspiration constante à l'unité nationale du Général met en relief la stratégie sournoise de division de l'actuel Président...

    En un temps où les décideurs moulinent du bec pour justifier leurs envies de guerre mondiale, la mort du fils du premier résistant de France renvoie, non sans tristesse, à ces valeurs fondamentales qui ont fait le Gaullisme...

    Philippe n'aura pas eu le destin de Charles mais le départ de ce centenaire au nom immense fait l'effet d'une page impossible à tourner.

    Que revive cette France au delà des tentatives d'assassinat.

    PLB, né sous De Gaulle, éduqué selon De Gaulle

     


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  • Non content de libaniser la France, le président Yoyo amorce les prémices d'une guerre mondiale.

    Artisan infatigable de la guerre civile entretenue par des déclarations incendiaires, le président Yoyo n'a aucune crainte devant le risque d'un conflit dévastateur.

    Comprenne qui pourra cet "irresponsable" politique qui compromet le destin de millions de personnes.

    Les élections européennes s'annonçant catastrophiques pour les idéologues immigrationnistes, quoi de mieux qu'un risque de guerre pour détourner les esprits. L'Europe comme unique rempart contre les désordres du monde, c'est du foutage de gueule !

    Le pire dans l'affaire est l'absence de contrôle de la folie de quelques uns...


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  • Il est des images qui ne trompent pas : après l'ouverture inhabituellement agitée du Salon de l'Agriculture, on se retrouve entre gens du même monde. Une fois passé le temps de l'accès autorisé au peuple, le président Yoyo partage le verre  avec ses pairs. Tout le monde, tout ce petit monde, tout sourire, se réunit autour du brillantissime président. Les courtisans niaiseux qui prennent pour or ce qui brille sont convaincus d'appartenir à la caste des intelligents qui comprennent tout de la logorrhée présidentielle. 

    La ferme France brûle mais cette élite heureuse de l'entre-soi l'ignore avec splendeur.

    Il y a quelque chose de Fidel Castro chez ce super bureaucrate à la Française. Enivré de son propre discours, à force de s'écouter parler, le président bavard qui sait tout n'entend plus rien. 

    Tout va très bien, madame la Marquise...


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  • Au gouvernail, un marin qui yoyote,

    c'est le naufrage assuré.

    Les paysans savent mieux que quiconque que de ce qui est semé dépend toute récolte. La terre ne ment pas aux hommes qui la travaillent : au champ, un paysan qui yoyote, c'est la famine assurée.

    Les marins connaissent la mer, ses secrets et ses facéties. Ils en savent les dangers tout comme ils ont la science des gestes adaptés. Au gouvernail, un marin qui yoyote, c'est le naufrage assuré.

    Le pouvoir politique est un gouvernail : de celui à qui est confiée la manoeuvre dépend le destin du pays tout entier. La tête doit être bien faite, bien remplie, bien attachée aux épaules. Faute de cet équilibre, le pouvoir devient une menace. Une menace pour les peuples. Une menace pour l'avenir.

    Qu'en est-il de la France ?

    L'inquiétude ne cesse de grandir face aux atermoiements, aux injonctions contradictoires, aux propos aléatoires, aux discours creux, aux dénis du réel, aux silences assourdissants. De plus en plus nombreux sont les commentateurs de l'action publique à avouer leur désappointement devant le " jeu " du locataire de l'Elysée : tout évoque le mouvement du yoyo.

    La dernière farce de ce président de moins en moins crédible aura été de proposer de réunir autour de la même table des travailleurs qui aimeraient pouvoir vivre de leur labeur et des activistes destructeurs. 

    A croire que l'intention première était de bloquer tout débat. Machiavélisme ou incapacité à appréhender la nécessité ?

    Le résultat est bel et bien celui d'un pas de plus vers une autre catastrophe. 

    Après moins d'un septennat de gouvernance, Jupiter n'en finit pas d'accoucher de souriceaux, tous plus chétifs les uns que les autres. La France souffre de mille maux aggravés par des diagnostics erronés et des traitements inadaptés.

    Après François Hollande, alias " culbuto ", voilà donc Emmanuel Macron, le président yoyo...

    Pitié pour les Français !

     


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