• Le sujet est toujours d'actualité. Aujourd'hui, plus que jamais. Voilà bien longtemps que le niveau culturel baisse en France. 

    L'école en principe destinée à l'éducation ne sait plus enseigner. En ce temps de changement de ministre(s), les bilans se révèlent désastreux. Le constat est amer ; la réflexion sur les causes du déclin n'en est pas pour autant pertinente.

    Pour comprendre la catastrophe culturelle, au delà de l'école, il faut savoir regarder partout : dans les villes, à la télévision, dans les commerces. Un des fléaux à la source de ce déclin, le "multiculturalisme" (cher à la gauche rien pensante mais aussi au gouvernement immigrationniste actuel) qui dissout le ciment nécessaire à la cohésion de toute société humaine. Du multiculturalisme au communautarisme, il n'y a qu'un pas allègrement franchi : chacun est désormais convaincu de son bon droit à revendiquer publiquement sa notion personnelle du savoir. Le wokisme est ainsi la plus parfaite expression de ce délire négationniste.

    Avatar probable de ce multiculturalisme, associé inextricablement au mondialisme mercantile, le barbarisme se répand en France comme une épidémie. Au premier rang de ces absurdités linguistiques et autres libertés de langages, l'anglicisme dégrade chaque jour davantage le niveau culturel global.

    La France, longtemps phare culturel dans le vaste monde des différences, s'éteint à force de ces prétentions stupides à se nourrir de toutes les singularités.

    Cette nourriture pourrait bien être une pollution mortelle...

     


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  • De Charybde en Scylla : nous l'écrivions récemment : le macronisme, c'est le déclinisme tous azimuts.

    Deux exemples pour bien commencer l'année 2024 :

    Pierre Moscovici, président de la Cour des Comptes, nommé par le Président de la République (M. E. Macron - ndlr), s'arroge le droit de conserver par devers lui un rapport relevant (comme tout rapport de la Cour des Comptes - ndlr) de l'utilité publique. Opportunité faisant, ce rapport sur l'immigration et sur la gestion de l'immigration en France aurait du être mis à disposition du public, à commencer par les élus, sénateurs et députés. Ce rapport aurait du contribuer à enrichir et à éclairer les débats en cours au Parlement sur ce sujet qui préoccupe la majorité des Français, à tout le moins des Français francophiles.

    Que nenni ! M. Moscovici "assume" sa décision de ne pas informer les parlementaires et le Peuple de France (qu'il méprise manifestement). Sa décision, non fondée sur le droit, est par ailleurs une entrave au fonctionnement de la Démocratie et de la République. Rien de moins. On peut déjà moralement juger ce personnage pour son arrogance d'Ancien Régime. On peut désormais espérer qu'il soit inquiété devant la Justice pour cette incroyable rétention d'informations. Voilà donc en sa personne un "petit marquis" historique de la socialie impudique dont on est fondé à exiger la démission. Faute de sa démission, on ne pourra que douter de l'utilité publique de la Cour des Comptes. A propos, combien coûte aux Français cette "Cour" ? Cour qui, grâce à son actuel président, évoque davantage sa signification d'Ancien Régime. Un scandale d'Etat puisque c'est le Président de la République qui en désigne le plus haut responsable. Il n'est pas interdit d'imaginer une demande pressante de l'Elysée de tarder à rendre public un rapport très accablant pour ceux qui nous gouvernent... actuellement.

    Un couple de nationalité belge demande à obtenir la nationalité française. Francophone (comme on aimerait que chaque "Français" le soit). Francophile (comme on aimerait que chaque "Français" le soit), ce couple a vu sa demande rejetée. Dans le contexte actuel où est accordée à n'importe qui, n'importe comment, y compris à des francophobes ne parlant pas le français, on est en droit et en devoir d'exiger des explications. On dispose déjà d'une réponse qui tient dans l'immigrationnisme acharnée du chef de l'Etat : tout doit être fait pour atteindre un point de non retour.

    Cette haine de la France, des Français francophiles, jusqu'au plus haut du pouvoir politique est un vrai scandale d'Etat... 


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  • Le "verbalisme" envahit toutes les sphères dirigeantes, à commencer par les locataires des palais dorés de la République. A commencer par le "chef de l'Etat"...

    Pour rendre hommage à Jacques Delors, le Jupiter de l'Elysée choisit la grandiloquence : "... réconcilier l'Europe avec son avenir". Jupiter qui se prend pour André Malraux glorifiant Jean Moulin, martyre de la barbarie nazie !

    Le discours prononcé par M. Macron est à son image : creux, verbeux et surtout insincère. On ne peut "en même temps" favoriser le mondialisme financier, les communautarismes étrangers au socle historique du continent européen et se vanter d'aimer l'Europe. Une Europe qu'il souhaite ouverte à tous les vents en niant le risque des tempêtes, culturelles, cultuelles, idéologiques, démographiques.

    Ce président, dont on épingle de plus en plus clairement la vacuité, des idées, des programmes, est un bavard capable de tout dire et son contraire. 

    La France est ainsi polluée par un excès de déclarations politiques. Lesquelles déclarations n'ont pas grand chose à voir avec la réalité vécue par des millions de Français...


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  • La pollution n'est pas qu'athmosphèrique : la France souffre de toutes sortes de pollution. Difficile d'établir une hiérarchie parmi ces facteurs de dégradation tant notre société est contaminée. A la source, on peut repérer déjà le phénomène de la bureaucratisation à outrance : cette maladie qui pollue tous nos systèmes de fonctionnement, de la justice à la santé en passant par la sécurité.

    L'affaire est à suivre de très prés...


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  • De Charybde en Scylla : ainsi va la France dans les "années macron".

    Brinquebalée entre les mollesses, les duplicités, les ambiguïtés, les contradictions, les incohérences, les lâchetés des pouvoirs, notre belle France, notre douce France, devient méconnaissable. 

    Les "rien-pensants" continuent leur sale besogne de sape et ne ratent aucune occasion pour le dénigrement de nos valeurs humanistes.

    Aucune pudeur à qualifier désormais de raciste quiconque pointe la barbarie, que celle-ci se produise loin de chez nous ou chez nous.

    La facture de cette fracture, lente, systématique et raisonnée, risque d'être salée.

    Un village paisible est attaqué en France dans une sorte de silence complice des pouvoirs, politiques, judiciaires, médiatiques : ne pas dire les choses n'empêchent pas les choses d'exister, bien au contraire.

    L'enquête sur l'assassinat de Thomas tarde à révéler ses premiers résultats : la méfiance populaire ne peut que s'amplifier...

    Voilà trop longtemps que les "élites" ont perdu l'intelligence des choses de la vie ! Voire perdu l'intelligence tout court.


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