Pour celles et ceux qui l'auraient oublié, Noël c'est aussi, et surtout, une fête... religieuse. 

La date du 25 décembre inscrite dans le calendrier Chrétien au nom de Noël célèbre la naissance de Jésus-Christ.

Il n'existe à cette date ni Saint-Père Noël, ni Saint Nounours, ni Saint Cadeau, ni Saint Consumériste, ni Saint Amazon.

Jésus-Christ est né dans une étable, pauvre parmi les pauvres, pour porter à l'Humanité un message autrement plus édifiant que celui des marchands du temple et autres nihilistes...

La France, terre de tolérance ?

Le mot tolérance est ambigu.

La société française organisée selon le principe de l'Etat de Droit confond de plus en plus la tolérance avec la permissivité. La permissivité est déjà en soi le commencement de l'arbitraire. Untel, dépositaire de l'autorité publique, ou disposant d'un pouvoir dans la gestion d'un dossier administratif, peut ainsi autoriser ce qui est interdit ou tout au moins irrégulier. La puissance publique - incarnée par des élus, par des fonctionnaires, de l'Etat ou des collectivités locales, par des magistrats - s'arroge ainsi, parfois, des droits (non fondés au regard de la Loi) à la " tolérance ".

En politique, cela s'appelle du clientélisme ; en bureaucratique, cela s'appelle du laxisme (voire prévarication).

Les trois petits singes (je ne vois rien, je ne dis rien, je n'entends rien) ne sont jamais loin du pouvoir : le laxisme/clientélisme commence par l'absence de sanctions pour simples infractions au code de la route (véhicules sur les trottoirs, sur les passages piéton, sur les places réservées aux Personnes à Mobilité Réduite...), se prolonge par l'indifférence à l'occupation sonore et dérangeante de l'espace public. Les petits laxismes/clientélismes faisant à terme les grands désordres d'aujourd'hui. 

De cette ambiguïté de l'idée de la tolérance, les intolérants se sont emparés avec la volonté d'en utiliser toutes les failles pour imposer le contraire de ce qui fait de notre beau pays un modèle singulier d'harmonie.

L'affaire est à prendre très au sérieux : un vrai combat est à mener contre les farces idéologiques et les contradictions impossibles à tolérer...

Ecoutez le éructer : l'anti facho, auto déclaré, venant au secours des minorités accablées par une France accusée d'intolérance, écoutez le s'exprimer avec l'exaltation du " grand orateur " Adénoïd Hynkel (AH comme Adolf Hitler) magnifiquement ridiculisé en 1940 par Charlie Chaplin. L'anti raciste, auto déclaré, s'affichant avec des doctrinaires d'une idéologie totalitaire et racolant sans vergogne des électeurs fondamentalement anti républicains serait risible s'il n'incarnait pas aussi parfaitement le déclin moral et intellectuel de notre pays...

Ecoutez le ronronner à l'Elysée le champion du laxisme et de l'insuffisance suffisante : tout, ou presque tout, déconne en France sous sa houlette en plastique dorée et il existe encore des Français pour nier le vide abyssal qu'il incarne.

Pauvre France fascinée par ceux qui la méprisent !

Observez ces deux énergumènes : on a envie d'utiliser leurs noms pour évoquer une chanson bien connue des carnavaleux dunkerquois : ....on, avec sa gueule de con ; .......on, avec sa gueule de con. Mais bien entendu, on nous dira que ce n'est pas politiquement correct.

Ne nous privons toutefois pas de cet humour qui est la politesse du désespoir...