N'attendons jamais le temps des élections pour évaluer la distance entre les paroles et les actions.

A surveiller plus particulièrement : ceux qui disposent du " pouvoir ", donc de la possibilité de l'action, et qui se contentent des discours.

Foin des promesses démagogiques et des communications sur papier glacé !

Face au(x) danger(s), rien n'est pire que l'inaction ou la promesse (jamais tenue) de l'action. Celui qui dispose de pouvoir(s) sans rien en faire devient complice des fauteurs de trouble, qu'ils soient politiques, économiques ou idéologiques.

Au peuple il appartient toujours d'exiger de la puissance publique qu'elle agisse pour l'intérêt collectif. Aujourd'hui, demain, sans jamais renoncer à dénoncer les Tartuffe qui ne songent qu'à leur réélection. Tous les Tartuffe : d'ici, d'ailleurs, d'en haut, d'en bas, de droite, de gauche...